En visite chez un ami de longue-date, celui-ci me dit : Hey ! ça te dit de jouer à Bioshock Infinite (le 3) en difficulté Vétéran et je regarde comment tu te débrouilles. 😈 Vous vous en doutez, j’ai massacré le jeu en deux jours, j’étais certainement en manque de FPS cette année-là. Mais après l’avoir terminé, au-delà du simple […]
En visite chez un ami de longue-date, celui-ci me dit : Hey ! ça te dit de jouer à Bioshock Infinite (le 3) en difficulté Vétéran et je regarde comment tu te débrouilles. 😈
Vous vous en doutez, j’ai massacré le jeu en deux jours, j’étais certainement en manque de FPS cette année-là.
Mais après l’avoir terminé, au-delà du simple plaisir d’avoir joué à un bon jeu vidéo, j’ai rapidement remarqué que Bioshock était un univers qui m’attirait particulièrement.
C’est vrai, pouvoir tirer avec son arme de la main droite et envoyer des pouvoirs via la main gauche, c’était quand même très nouveau pour le jeune joueur que j’étais à l’époque.
Malheureux que je fusse ! Je ne possédais guère les autres jeux de cette saga chez moi ! C’était sans compter les saintes promotions Steam qui m’ont permis d’acquérir le premier et plus tard sur Xbox, le deuxième opus.
Mais cessons les digressions et parlons de Bioshock 1 je vous prie.
Avant d’être un jeu, c’est surtout une ambiance, un univers claustrophobique et terriblement attirant dans lequel vous plongez la tête la première.
Vous incarnez un pauvre type qui, après un crash d’avion, se retrouve dans la cité sous-marine de Rapture. Dans cette évidente dystopie, vous êtes rapidement contactés par Atlas, père de famille qui souhaite rejoindre la surface avec ses proches et s’occupe de vous exposer un peu plus cet univers.
Au début, il s’agissait d’une grande utopie, celle d’Andrew Ryan. En réalisant l’impossible, il souhaitait permettre à tous d’explorer tous les champs disciplinaires possibles sans s’inquiéter de la morale ou de l’éthique. Que l’homme travaille pour lui et non pour autrui.
En ce sens, Rapture est une excellente interprétation des évènements du roman Atlas Shrugged d’Ayd Rand. Vous noterez par ailleurs la correspondance entre les initiales de cette autrice avec celles d’Andrew Ryan.
Mais seulement voilà, l’homme est un loup et aucun n’échappe à la règle. Petit à petit, la ville de Rapture a sombré dans la folie à force d’ingestion répétée de Plasmides par les citoyens.
Ces plasmides sont des « pouvoirs » comme la gestion du feu, de l’électricité, la télékinésie, etc… Mais ils demandent une grande consommation d’Adam, une substance découverte sur des sangsues au fond la mer et petit à petit, l’Adam vient à manquer face à cette consommation de masse…
Ce n’est qu’après la catastrophe et la guerre intra-rapture que vous arrivez dans cette ville. Et c’est remarquablement passionnant de découvrir un univers après son apogée.
Si vous aimez Bioshock, je vous recommande le livre de thirdedition sur le sujet qui est vraiment intéressant en plus d’être peu cher, on y apprend énormément de choses. Il y a également un roman relatant les évènements avant votre arrivée.
Passionné par le jeu vidéo depuis tout petit avec pour premier jeu Baldur's Gate, je ferai sur ce site des tests de jeux vidéos, ainsi que des articles sur divers sujets liés à ce média que j'affectionne énormément.
La sélection des jeux sera purement aléatoire et je souhaite que vous preniez autant de plaisir à me lire que j'en ai à écrire.
Le jeu vidéo est un média à part, hybride de par sa capacité à interagir entre le virtuel et le réel, j'essayerai donc de toujours proposer des jeux suscitant nos émotions de joueurs et non de simples objets commerciaux sans âmes.
Débutant dans le monde de la critique, n'hésitez pas à faire des retours vis à vis de ce que je produis du moment que vos retours sont constructifs.